Poésie

AUX JOURS DE PACO

Mon fils, mon Paco, ma douleur. Aucun mot extérieur ne comblera ma douleur. Elle est profonde. 

Mon fils, mon Paco, mon poisson d’avril, je veillerai sur ce que tu as ​toujours voulu que je sois, une mère digne qui ne se compromet point. 

Je veillerai sur ce que tu as toujours voulu que je fasse, rester moi-même. 

Je veillerai sur ton œuvre. 

Je veillerai sur nos œuvres.​

Mon fils, mon Paco, ma douleur ! 

Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime !


ISBN 978-2-37638-004-7 - octobre 2020 - Format 12,8x18,2 - 58 pages


5,00 €

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