Lucie Armelle MAMENGUI est aujourd’hui Entrepreneur, Formatrice en entreprenariat, Coach en équilibre émotionnel, Conférencière, Leader d’organisation, Fondatrice et Directrice de l’ONG DORCAS FAMILY INTERNATIONAL.
QUI SUIS-JE ?
Je suis née de parents gabonais. J’ai été élevée dans un foyer monoparental. Mes frères et moi, issus de notre mère, formons une fratrie de quatre garçons et quatre filles, dont je suis la septième. Cette dernière m’a inculquée, dès mon plus jeune âge, les valeurs chrétiennes.
MON CURSUS SCOLAIRE
J’ai connu quelques échecs au cours de mon cursus scolaire mais par la grâce de Dieu j’ai pu terminer mes études secondaires avec l’obtention d’un baccalauréat série G3 (Option Commerce) avec une mention passable.
Après trois années d’études supérieures en Côte d’Ivoire, j’ai obtenu un Brevet de Technicien Supérieur (BTS) en Gestion Commerciale.
En 2000, de retour au pays, sachant que ma maman, qui était le premier pilier financier de mes études, était déjà retraitée, il m’a fallu chercher immédiatement du travail. Je me suis alors
mise en mouvement, au bout de quelques mois, j’obtins mon premier stage dans une grande entreprise française. Je m’y étais facilement intégrée. A la fin de ma période de stage, je
signais mon premier contrat de travail.
Ce premier emploi a été pour moi le début d’une série de challenges. C’est à ce moment que je pris conscience du fait que je vivais une vie religieuse sans un attachement véritable à Dieu. Je me laissais guider par la convoitise de ma chair et
l’insouciance de la jeunesse.
UNE SERIE D’ECHECS DETERMINANTE
Au bout de cinq années de travail, malgré les différentes promotions professionnelles, je ne fus point reclassée d’après mon niveau d’études et ne connus aucune augmentation de salaire.
En 2004, j’initie des démarches pour aller poursuivre mes études supérieures en France en sollicitant une bourse d’études, les résultats ne furent pas positifs.
En 2005, je ne perdis pas espoir, je constituai un nouveau dossier de bourse, toujours pour la France, confié cette fois-ci à un haut administrateur de la République qui me rassura
que tout était dans de bonnes mains pour une obtention de bourse.
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